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[ Formule 1 ] [ Cinéma ] [ Musique ]
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AlONsO
04/07/2005 13:23
LoL, juste pour rappeler que Fernando court pour la France !!!
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AlONsO
04/07/2005 13:21
_ Le vainqueur du Grand Prix de France confie que les tribunes bleues et jaunes lui ont procuré un surcroit de motivation dimanche. _
Vous avez remporté le Grand Prix de France. Soulagé ? Oui, vraiment. Nous voulions vraiment remporter cette course : une victoire était importante à plus d’un titre et nous avons travaillé très fort pour y parvenir. La voiture bénéficiait de nouvelles pièces, testées à Jerez la semaine dernière, et nous savions qu’elle serait à son aise sur le tracé de Magny-Cours. Je dois dire que nous n’avons connu aucun problème technique de tout le week-end. La fiabilité a été au rendez-vous et, côté performances, la voiture s’est montrée dans le coup dès que nous l’avons posée sur la piste.
La course a-t-elle été facile ? Vous avez semblé un peu esseulé ! J’ai pris un bon départ, puis j’ai décidé d’être prudent dans le premier tour. En effet, il s’agissait de notre premier roulage de la journée et je voulais m’assurer que les conditions de piste étaient OK. Lorsque j’ai constaté que la voiture se comportait comme la veille, alors j’ai vraiment attaqué. La Toyota de Trulli et la Ferrari de Schumacher ont disparu dans mes rétroviseurs. Au moment de m’arrêter pour la première fois, je disposais d’une avance confortable et j’ai pu contrôler la course. C’est vrai, j’ai été un peu seul, mais il fallait dépasser bon nombre de retardataires. Cela m’a aidé à rester concentré.
Aucune alerte ? Non. Si ce n’est que les 10 derniers tours m’ont paru très, très longs !
Vous avez été soutenu tout le week-end par un public fantastique… C’est vrai. Les tribunes étaient presque complètement jaunes et bleues. Comme à Barcelone. Voir ces casquettes et ces drapeaux m’a procuré un surcroit de motivation. Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont apporté leur support ce week-end. Nous avons gagné ensemble.
Silverstone, c’est dans une semaine. Quelles seront vos ambitions ? Silverstone est une piste sur laquelle nous ne sommes jamais vraiment compétitifs. C’est pour cela qu’il était important de gagner à Magny-Cours. Nous ferons de notre mieux, mais l’objectif sera avant tout de monter sur le podium.
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AlONsO
04/07/2005 13:19
_ Fernando Alonso vire en tête… _ Domination et démonstration !
 Fernando Alonso
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L’Espagnol Fernando Alonso, vainqueur dimanche en France de son 5ème Grand Prix de la saison sur 10 courus grâce à une Renault au-dessus du lot, aborde la seconde moitié du championnat de Formule 1 avec une confortable avance, reléguant ses adversaires au rôle d'outsiders.
Dix courses de courues sur 19 et le jeune Espagnol de 23 ans affiche cinq victoires (Malaisie, Bahreïn, Saint-Marin, Europe et France), une deuxième place (Espagne), une troisième (Australie), une quatrième (Monaco), un abandon (Canada) et une non-participation (Etats-Unis.)
Il compte ainsi 24 points d'avance sur son plus dangereux rival, le Finlandais Kimi Raikkonen (McLaren-Mercedes.) « J'ai une assez bonne avance sur Kimi, mais le chemin est encore long d'ici la fin de saison » soulignait Alonso après sa victoire à Magny- Cours.
"Ice Man", lui, refuse de baisser les bras, mais il a reconnu que plus les courses passaient plus sa tâche se compliquait. Au vu de la première moitié de saison, même si de l'avis général la McLaren-Mercedes du Finlandais est intrinsèquement la monoplace la plus performante du plateau, la Renault de l'Espagnol a prouvé qu'elle était la plus efficace.
Outre les Grands Prix dominés de la tête et des épaules, Alonso et Renault ont en effet bénéficié des problèmes de fiabilité rencontrés par McLaren-Mercedes, voire des erreurs de Raikkonen. Comme ce freinage violent au Nürburgring engendrant un plat sur le pneu avant droit et des vibrations qui ont fini par provoquer le bris de la suspension dans le dernier tour et la perte d'une victoire acquise, au profit... d'Alonso.
« Aujourd'hui, le meilleur package ce n'est pas la McLaren, c'est la Renault » soulignait d'ailleurs le directeur général de Ferrari, Jean Todt, au soir du Grand Prix de France.
Au volant de la meilleure monoplace, Alonso est donc sur la route de l'Histoire. Si sa domination se confirmait, il deviendrait en effet à 24 ans le plus jeune champion du monde de F1 et pourrait se targuer d'être le pilote qui a mis un terme à la domination de Schumacher, qui plus est en le battant sur la piste !
A ce titre, l'image de cette première moitié de saison restera la façon dont l'Espagnol à bord d'une Renault blessée a résisté à l'Allemand au volant d'une Ferrari survoltée, douze tours durant à Imola. Cet épisode, survenu lors du quatrième GP de l'année semblait sonner le retour de la Scuderia après un très mauvais début de championnat. Il n'en fut rien, les Ferrari ne parvenant pas à se hisser au niveau de Renault et McLaren-Mercedes.
 Michael et Jean...
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Magny-Cours en a été une nouvelle démonstration. « Michael a terminé troisième et il ne pouvait clairement pas faire mieux » commentait Todt. « Les voitures devant lui - Alonso et Raikkonen - étaient simplement plus rapides. »
La Scuderia et son pilote vedette étaient pourtant revenus au contact de McLaren-Mercedes et de Raikkonen avant cette 10ème manche du calendrier après avoir fait le plein de points durant la tournée nord- américaine. Schumacher et son coéquipier Rubens Barrichello avaient en effet terminé 2ème et 3ème au Canada puis 1er et 2ème aux Etats- Unis lors d'une course de six voitures.
Indianapolis 2005 restera en effet dans les annales de la F1 comme un grand raté. Ce Grand Prix a stigmatisé le malaise ambiant en F1, le dialogue de sourds entre les écuries et la Fédération Internationale de l'Automobile (la FIA.)
Si la crise a éclaté à la suite d'une erreur de Michelin, qui n'a pas proposé à ses écuries des pneumatiques adaptés au Speedway, il reste que la FIA, en restant -à raison- ferme sur le règlement, n'est pas parvenue à trouver une solution valable pour les spectateurs et les téléspectateurs, poussant un certain nombre de chaînes de télévision à couper la retransmission. Et remettant en question l'avenir de la F1 aux Etats-Unis.
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AlONsO
04/07/2005 13:13
Alonso enfant de la patrie ! Fernando invincible à Magny-Cours

 Renault et Alonso gagne en France
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L’Espagnol Fernando Alonso a offert dimanche à Renault sa première victoire à l’occasion du Grand Prix de France en 22 ans. Le pilote a coupé la ligne d'arrivée au ralenti pour partager sa joie avec les employés du constructeur français massés dans la grande tribune de Magny-Cours.
C'est justement Alain Prost, le dernier vainqueur du Grand Prix de France au volant d'une Renault, en 1983 au Castelet, qui a remis la coupe au vainqueur sur le podium.
Parti de la pole position, l'Espagnol a mené de bout en bout une course sans aucun intérêt mais qui lui a permis d'accroître son avance et celle de son écurie aux classements du championnat du monde. Aucun spectacle sur la piste, donc, mais une écrasante démonstration de supériorité qui tombe à pic pour la première apparition sur un Grand Prix du nouveau président directeur général de Renault, Carlos Ghosn.
Avant le départ, M. Ghosn avait en effet expliqué que le constructeur français était en F1 : « pour que le public reconnaisse que Renault est en compétition au plus haut niveau. »
Dimanche, les désirs du président étaient des ordres. Alonso s'est même fendu de quelques mots en français pour la télévision. « Je suis très content, le week-end a été fantastique, la course a été parfaite. C'est bien pour le public et notre président » a-t-il dit dans la langue de Molière. « Après les derniers ravitaillements, il était clair que les jeux étaient faits, j'ai pu contrôler et ralentir avant la ligne pour fêter la victoire avec la tribune où étaient assis les employés de Renault » a-t- il commenté.
Le pilote s'est également félicité de voir, comme à Barcelone où il était le héros local, des tribunes aux couleurs jaune et bleu de son écurie plutôt que parées du traditionnel rouge Ferrari.
« L'ensemble Renault-Michelin était imbattable aujourd'hui » a poursuivi l'Espagnol qui, en signant sa cinquième victoire de la saison, la sixième cette année de Renault (en tête des constructeurs avec 18 longueurs d'avance sur McLaren Mercedes), compte désormais 24 points d'avance sur son principal rival, le Finlandais Kimi Raikkonen.
Ce dernier a néanmoins limité les dégâts en terminant deuxième alors qu'il était parti de la 13ème position sur la grille en raison d'une pénalité pour avoir changé un moteur cassé en début de week-end. « Ce qui s'est produit vendredi a tout gâché » avouait Kimi, dépité.
 Le podium du jour
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« Néanmoins, la deuxième place à l'arrivée est mieux que rien car je ne perds que deux points sur Alonso, ce n'est pas un désastre. Toutefois, sans la pénalité, je pense que nous aurions pu gagner ou au moins lutter pour la victoire » a poursuivi Raikkonen, soulignant que dans l'optique du titre : « à chaque course cela devient de plus en plus difficile. »
Magny-Cours, 10ème Grand Prix de la saison, marquait la mi-parcours d'un championnat record de 19 courses. « Ca va être dur, mais nous n'allons pas abandonner » a assuré le Finlandais, plein de détermination dans son regard bleu acier.
Une phrase reprise, mais avec moins de conviction, par l'Allemand Michael Schumacher (Ferrari), troisième à Magny-Cours au terme d'une course qui ne lui aurait pas permis de prétendre à la victoire. « Si l'on regarde notre rythme, la troisième place est le mieux que l'on pouvait faire » a reconnu le septuple champion du monde. « Si notre stratégie avait parfaitement fonctionné, nous aurions peut-être pu terminer devant Raikkonen a-t-il ajouté, soulignant qu'il avait été bloqué 18 tours en début de course derrière la Toyota de Jarno Trulli, puis plus tard par la McLaren-Mercedes de Juan Pablo Montoya.
Quoi qu'il en soit, pas le temps de s'endormir sur ses lauriers ni de s'apitoyer sur son sort ou de tirer des plans sur la comète : dans huit jour, la piste de Silverstone livrera un nouveau verdict.
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ReNaULt F1 TeAm
04/07/2005 13:04
* Force de frappe * France : Renault - La course
 Alonso en est fier
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L’Espagnol Fernando Alonso a été impérial aujourd’hui en France où le jeune leader du championnat du monde a conquit avec autorité la sixième victoire de sa carrière, la 5ème de l’année.
Leader de bout en bout, le pilote Renault conforte ainsi son avance au championnat des pilotes de deux points et possède désormais 69 points, 24 plus de son plus proche rival Kimi Raikkonen.
Néanmoins, il a mené une lutte tenace pour prendre la sixième place, ce qui permet à l’écurie de rajouter 13 points à son score au championnat constructeurs. Elle a maintenant 89 points, 18 devant McLaren.
« Je suis très fier de gagner cette course - fier pour l’écurie, pour Renault, pour Michelin qui a vécu des moments difficiles ces dernières semaines et pour tous les fans qui sont venus nous encourager aujourd’hui » déclarait le vainqueur du jour.
« La course a été plutôt facile : j’ai attaqué pendant le premier relais, puis j’ai pu gérer mon avance et nous n’avons fait que de petits ajustements à la voiture. Je suis ravi de renouer avec la victoire, mais cela ne change rien quant au championnat » avouait-il. « J’ai une assez bonne avance sur Kimi, mais le chemin est encore long d’ici la fin de la saison. Tout peut encore arriver. »
« Nous savons que nos concurrents seront très rapides à Silverstone le week-end prochain. Mais pour l’instant, je veux savourer ce que nous avons accompli cet après-midi » ajoutait Fernando.
Giancarlo Fisichella est passé à côté d’un bon résultat cet après- midi à Magny-Cours. L’Italien a connu des problèmes à deux reprises lors de ses trois passages à la pompe et perdu un temps précieux.
« En réalité, je pense que cela a été une bonne course pour moi – malgré ma position finale. J’ai eu un problème avec la machine de ravitaillement au premier arrêt, ce qui m’a coûté beaucoup des positions - puis le support du fond-plat a cassé vers la mi-course, ce qui m’a privé d’appuis et d’adhérence - et au dernier arrêt, le moteur a calé quand j’ai tenté de repartir » expliquait Fisico’.
« Donc en fait, avec toutes ces choses, je pense que c’est pas mal de terminer sixième. Bien sûr, je peux dire que je suis déçu parce que j’aurais pu être sur le podium, mais le plus important, c’est que nous avons marqué plus de points que les autres aujourd’hui et que nous avons amélioré la situation au championnat » ajoutait le pilote italien.
Privée de point à Montréal, absente au départ à Indianapolis, l’équipe Renault est sortie victorieuse du Grand Prix de France, cet après-midi à Magny-Cours. Grâce aux 13 points inscrits aujourd’hui, le 6ème succès de la R25 en 2005n l’écurie conforte sa première place au championnat du monde des constructeurs.
 C'est gagné !
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« L’écurie a livré une magnifique bataille aujourd’hui et Michelin a fait de même – après les événements à Indianapolis, c’était fantastique de les voir revenir très forts pour dominer le week-end. La course de Fernando a été sans faute, mais nous sommes désolés pour Fisichella et les problèmes qu’il a subi, qui étaient de notre ressort » reconnaissait Briatore, directeur général de l’écurie.
« Mais même s’il a pas terminé là où il aurait dû, les points qu’il a marqués ont fait la différence, et ils nous ont permis d’agrandir notre avance sur nos rivaux. Enfin, nous sommes ravis pour les supporters et les collègues qui ont assisté à cette course – nous avons été fiers de leur offrir cette victoire » ajoutait Flavio.
Le succès de Renault cet après-midi à Magny-Cours est la première pour une monoplace 100% Renault au Grand Prix de France depuis 1983. Une cerise sur le gâteau pour Pat Symonds, directeur exécutif de l’Ingénierie.
« Nous félicitons Fernando pour une victoire qu’il a pleinement méritée, sa cinquième de la saison. Il a été intouchable ce week-end. Mais du point de vue de l’écurie, nous devons nous concentrer autant sur le podium manqué de Fisichella, qui a subi trois incidents différents cet après-midi. S’il est arrivé à terminer sixième malgré tout cela, c’est parce qu’il a également mené une course de tout premier plan » concluait Pat.
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